Le développement
Dans le respect de la mission qui lui est confiée par les ministères, SFERE va développer son activité en priorité vers les pays non francophones. L'Asie, l'Amérique Latine, le Proche et Moyen Orient deviennent vite ses principaux champs d'intervention. Les premiers programmes d'accueil se développent en Indonésie, au Venezuela, en Irak, aux Philippines.... Ils ciblent désormais davantage les niveaux Master et Doctorat.
En 1989
À la demande du Ministère des Affaires Étrangères qui souhaite rationaliser son dispositif, SFERE reprend les programmes de bourses (Chine, Mexique, Brésil) gérés par un autre organisme français : le CEFI International. Les formations d'ingénieur entrent alors dans le champ d'activité de SFERE, qui devient alors le seul opérateur français en mesure d'offrir à ses partenaires étrangers l'intégralité de l'offre éducative française.
En 35 ans, SFERE va concrétiser sa mission d’exportation en réalisant plus de 700 projets avec 80 pays,…
- Sous son égide, près de 25 000 cadres et enseignants étrangers, provenant de pays non francophones, viendront se former en France, essentiellement aux niveaux Ingénieur, Master, Doctorat.
- En assistance technique, ce sont plus de 2400 experts que SFERE mobilisera sur des projets de création et / ou modernisation des systèmes éducatifs étrangers.
- Sur le plan financier, cette activité représente en 35 ans plus de 300 millions d'euros injectés dans le système éducatif français, auxquels il convient d'ajouter plus de 280 millions d'euros de retombée indirecte dans l'économie française (frais de séjour des cadres et enseignants étrangers pendant leur formation en France).
